Le grand retour de Burger king dans l’hexagone c’est officiel!

BURGER KING – L’arlésienne du fast-food va faire son grand retour en France. Burger King et Autogrill, la firme italienne spécialiste de la restauration aux voyageurs (autoroutes, gares, aéroports), ont annoncé jeudi 29 novembre l’extension de leur coopération en Europe à trois nouveaux pays: la France donc, mais aussi la Suisse, et la Pologne.

Un premier restaurant Burger King ouvrira dans l’aéroport de Marseille à la fin 2012 ou tout début 2013, tandis qu’un second sera installé sur une aire d’autoroute à Reims. Ce dernier devrait voir le jour au premier semestre 2013.

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Autogrill, qui exploite déjà plus de 140 Burger King dans le monde (dont 104 en Amérique du Nord et 35 en Europe), sera donc également l’exploitant de la marque sur le marché français. C’est d’ailleurs lui qui a confirmé la nouvelle par un communiqué.

15 ans de rumeurs

Burger King avait quitté le sol français en 1997, notamment à cause d’un réseau trop limité (39 restaurants) et pas assez rentable. La concurrence avec McDonald’s et Quick avait eu raison de l’Américain, qui devra maintenant se confronter à de nouveaux acteurs comme Subway, Domino’s Pizza ou encore KFC.

Le retour en France de la chaîne de fast-food a fait l’objet de nombreuses rumeurs ces dernières années. La dernière en date remonte à mars dernier, quand la possible installation d’un restaurant dans la gare Saint-Lazare avait électrisé les fans de la marque. Comme à l’accoutumée, la rumeur s’était avérée fausse.

Burger King a régulièrement joué sur l’appréciation dont bénéficie la chaîne en France. En 2010, une campagne de publicité avait laissé croire à son retour alors qu’elle plaidait pour la rapidité des trajets Paris-Londres… afin d’aller déguster un Whooper en seulement 2h15.

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Nespresso met en lumière ses clients exceptionnels

Nespresso met en lumière ses clients exceptionnels

Dans son dernier spot publicitaire « Like a star », la marque de café Nespresso met de nouveau George Clooney en scène pour souligner la relation d’exception qu’elle entretient avec ses membres

Nespresso met en lumière ses clients exceptionnels

Dans son dernier spot publicitaire « Like a star », la marque de café Nespresso entend souligner la relation d’exception qu’elle entretient avec ses membres.

Après avoir mis en avant ses produits, Nespresso revient avec un nouvel épisode publicitaire “Like a star” pour illustrer la relation que l’enseigne entretient avec ses clients. Pour ce nouveau spot, imaginé par l’agence Lowe Stratéus, la marque de café met de nouveau en scène George Clooney qui, comme chaque membre du club, “mérite un accueil privilégié et un service sur mesure”. Sur le site dédiéwww.nespresso.com/whatelse, la marquepropose le film avec une présentation interactive, permettant de découvrir, tout au long de ce dernier, les services Nespresso.

Le lancement de la campagne est accompagné d’un dispositif plurimédia, on line et off line, pour présenter les services proposés par la marque.

Découvrez le nouveau spot :

Les nouvelles tendances qui s’installent dans nos assiettes

Retour au « naturel », lutte contre le gaspillage, simplicité, produits malins qui font plaisir sans se ruiner… pour séduire les consommateurs et répondre à leurs demandes, les industriels de l’agro-alimentaire exposent leurs innovations au salon international de l’agroalimentaire qui se tient jusqu’au 25 octobre à Paris. Décryptage des grandes tendances en sept produits types qui se retrouveront peut-être dans les rayons des supermarchés.

Emballage comestible, sel liquide, vinaigre en perle, « eau de safran », poivre de cassis ou encore huile de homard… Ces gadgets culinaires présentes sur les stands des distributeurs au Salon international de l’alimentation qui se tient à Paris jusqu’au 25 octobre parviendront-elles vraiment à séduire suffisamment les consommateurs pour prendre place durablement dans leur garde-manger ? Au-delà des innovations anecdotiques, voici quelques produits alimentaires représentatifs des grandes tendances de l’offre et de la demande.

1. Le naturel

Les consommateurs souhaitent des produits plus « naturels ». Selon une étude menée par la Sofres, ils sont six sur dix à les réclamer. « Sans s’opposer au bio, cette  tendance est complémentaire », explique Xavier Terlet dirigeant du cabinet d’études XTC. C’est le succès du « sans »: sans conservateur, sans additifs, sans sucres ajoutés. Certains industriels mettent aussi en avant des processus de fabrication qui collent à cette image, avec des cuissons lentes par exemple. La part belle est fait à la saisonnalité.

–> Le produit : les graines de chanvre 

Pour ces graines de chanvre à grignoter ou saupoudrer dans une salade, le fabricant anglais, Braham and Murray a été distingué parmi des succès internationaux pré-selectionnés par un jury d’experts pour le prix remis au SIAL, les Sial d’or.

2. Le simple

Conséquence de ce attrait pour  le naturel, le retour à la simplification est de mise. « Le consommateur a besoin de comprendre ce qu’il a dans son assiette », commente Xavier Terlet. Les expressions comme « acides gras poly-insaturés » auraient donc fait long feu. Pour monter qu’ils simplifient leurs produits, des industriels affichent par exemple le nombre d’ingrédients – réduit – qui entrent dans la composition de l’aliment.

–> Le produit  : la glace aux 5 ingrédients

4. Le miel

Le miel supplantera-t-il la stévia ? L’ingrédient fait son grand retour et se retrouve dans de nombreuses préparations, même salées. Le miel jouit d’une « forte image de naturalité », explique Xavier Terlet. Pile dans la tendance, donc.

3. La dosette

« Nous sommes en période de crise, tout le monde l’a bien compris », souligne le directeur du cabinet XTC. Aussi la question des dépenses mais aussi du gaspillage, c’était l’un des grands thèmes du SIAL, est-elle au coeur des préoccupations. Pour tenter d’y remédier, l’idée du moment consiste à réduire les quantités ou bien à présenter les aliments sous formes de petites portions qui permettent de fractionner les achats et ainsi d’éviter de jeter ce qui est périmé. La dosette triomphe, donc, avec pour corrollaire négatif d’accroitre la quantité d’emballages nécessaires.

–>Le produit: la vinaigrette en capsules

Ces dosettes d’assaisonnement « Mini Oliva », produites en Espagne, ont, elles aussi reçu un prix au Sial.

4. Le terroir

Argument de vente parmi d’autres, le « Made in France » aura-t-il son rayon? Pas sûr. D’autant que « le fait qu’un produit soit fabriqué en France ne garanti en rien sa qualité », note Xavier Terlet. En revanche, le terroir, avec, sa connotation « naturelle », toujours elle, pourrait avoir de belles heures devant lui.

–> le produit: L’huile des Alpilles en dosettes

La dosette, encore elle, mais cette fois elle contient des berlingots du Calanquet, des assaisonnements à l’huile d’olive servis dans des emballages individuels en plastique estampillés « 100% français ».

6. L’anti-allergique

Les produits personnalisés, ciblés pour une communauté culturelle ou religieuse ont fait depuis longtemps leur entrée dans les supermarchés. Certains seraient toutefois oubliés qui pourraient pourtant représenter un vrai marché. « Plus de 20% des personnes déclarent une intolérance alimentaire et 4% sont allergique », souligne par exemple Xavier Terlet. Et de ce point de vue, il y aurait un vide à combler chez les industriels parce que l’offre reste faible.

–> Le produit: le pain sans gluten

7. La nourriture en kit

A côté des sels liquides ou du safran en spray, des produits apparamment « gadgets » sont également lancés et pourraient connaître un certain succès. L’idée dans ce cas est d’allier le « plaisir » tout en faisant des économies. « Dans la mouvance des émissions de télévision type Top Chef ou Masterchef », les produits qui s’intercalent entre le « tout fait » et le « tout à faire » se multiplient. Sauces de décoration ou bien tarte en kit en sont la démonstration.

–> le produit: la tarte en kit

 

Source: http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/agroalimentaire-biens-de-consommation-luxe/20121024trib000726816/alimentation-ces-nouvelles-tendances-qui-s-installent-dans-nos-assiettes.html

Pule, le fromage serbe le plus cher au monde coûte 1000 euros le kilo

« FROMAGE – Vu la rareté du lait d’ânesse, il y a à peine de quoi en faire un fromage. Il s’appelle Pule, il est produit dans une petite ferme en Serbie à partir du lait d’ânesse, et a été décrété le fromage le plus cher du monde. Il faudra débourser 100 euros pour vous en payer une tranche de 100 grammes. Soit, pour un euro le gramme, autorisation de se lécher le bout des doigts.

Slobodan Simic, le chef de la réserve Zasavica Donkey, où le Pule est fabriqué, raconte que s’il avait à le commercialiser dans les grandes surfaces, le fromage atteindrait des sommes astronomiques compte tenu de sa rareté et de son coût de production. Il coûterait « trois, quatre ou même cinq mille euros le kilo », dit-il.

Regardez ce reportage réalisé par la chaîne Jewish News One:

Pour le moment, Slobodan et ses amis de la réserve se contentent de produire le Pule en petite quantité, afin de continuer à travailler dans les règles de l’art et de respecter les méthodes de fabrication et de conservation. Pour autant, le fromage Pule se vend à 1000 euros le kilo et même à ce prix-là, il détient largement la palme du fromage le plus cher du monde. »

Heineken s’offre la bière Tiger et part à la conquête de l’Asie

Le brasseur néerlandais Heineken a pris le contrôle du thaïlandais Asia Pacific Breweries, propriétaire de la bière Tiger.
(c) Reuters

Le brasseur néerlandais Heineken a pris le contrôle du thaïlandais Asia Pacific Breweries, propriétaire de la bière Tiger. (c) Reuters

Le brasseur néerlandais a finalement réussi vendredi 28 septembre à s’emparer de la bière Tiger, très populaire en Asie, après deux mois de bataille avec un rival thaïlandais pour la conquête du juteux marché extrême-oriental.

Réunis en assemblée générale extraordinaire, près de 99% des actionnaires du singapourien Fraser and Neave (F&N) ont approuvé l’offre de Heineken en vue du rachat de 40% détenus dans Asia Pacific Breweries (APB, pour 5,6 milliards de dollars singapouriens (3,56 milliards d’euros).

APB produit non seulement la bière Tiger, très populaire dans le continent, mais gère également trente brasseries dans 14 pays. D’où l’ambition de Heineken d’en faire le fer de lance de sa conquête d’un marché asiatique en pleine expansion, tandis que la demande en Europe reste atone.

La consommation de bière dans neuf pays qui forment la majeure partie de l’Asie du Sud-Est a bondi de plus de 6% en 2011 à 6,84 milliards de litres, avec en tête de cette croissance le Vietnam, la Thaïlande et les Philippines, selon des données recueillies par Euromonitor.

Une longue bataille

L’approbation de l’offre, largement attendue, vient clore une longue bataille pour le contrôle d’APB. En août, Heineken avait dû dans un premier temps améliorer son offre sur les 40% détenus par F&N dans APB après une surenchère de son rival thaïlandais Thai Beverage (ThaiBev). Heineken avait initialement mis sur la table 5,1 milliards de dollars singapouriens contre 5,6 dorénavant.

Puis, mi-septembre, le même ThaiBev, allié à son partenaire TCC Assets, avait lancé un offre publique d’achat sur les 70% qu’il ne détenait pas encore dans F&N, pour un montant de 8,7 milliards de dollars singapouriens (5,5 milliards d’euros).

Mais la semaine dernière, Heineken et ThaiBev annonçaient une entente visant à se partager F&N: Heineken empoche le secteur brasserie tandis que ThaiBev reprend le reste du patrimoine, et en particulier le juteux portefeuille immobilier de F&N.

Heineken détient déjà plus de 50% d’Asia Pacific Breweries (APB) mais aimerait accroître son contrôle dans le cadre de sa stratégie de conquête du juteux marché asiatique de la bière.

 

http://www.challenges.fr/entreprise/20120928.CHA1389/heineken-s-offre-la-biere-tiger-et-part-a-la-conquete-de-l-asie.html

Le succès de la convenience food booste les franchises de restauration rapide

Le succès de la convenience food booste les franchises de restauration rapide

Le succès de la convenience food booste les franchises de restauration rapide

La convenience food englobe toutes les nouvelles recettes élaborées principalement à base de pâtes et conditionnées dans des boîtes en carton. On les voit maintenant partout que ce soit dans les rayons des super et hypermarchés mais aussi dans des réseaux de franchises qui ont compris que la consommation hors foyer abordait une nouvelle phase et que les pâtes pouvaient se décliner à l’infini comme les pizzas.
En seulement 3 ans, le chiffre d’affaires de ces nouveaux produits avoisine 100 millions d’euros, avec une progression spectaculaire de plus de 40% en 2011. Quand on comptait une dizaine de produits en 2009, une gamme de 150 était ainsi disponible dans les linéaires à la rentrée 2011 selon l’étude de Xerfi, cabinet spécialisé en études économiques sectorielles.
A titre de comparaison, le nombre de sandwiches vendus en France augmentera de 2% en 2012 puis de 3% en 2013 (+0,8% en 2011) et les ventes de salades traiteur progresseront respectivement de 1% et 2% ces deux prochaines années (+2% en 2011), selon les prévisions exclusives de Xerfi.

Les industriels diversifient leur offre face aux réseaux de franchise de restauration rapide

L’offre continue de s’élargir avec la multiplication du nombre d’intervenants sur les créneaux des pâtes à emporter. Dans ce contexte, les fabricants de salades, sandwiches et box doivent faire preuve d’innovation pour se démarquer de la concurrence et attirer les consommateurs. Il faut constater qu’ils ont en face d’eux des réseaux  de restauration rapide nationaux bien structurés en termes d’offre et de maillage du territoire et qui ont pris une bonne longueur d’avance.
Les attentes des consommateurs ne cessent d’évoluer, mais le prix et la qualité restent des éléments prépondérants. En restauration tout comme en alimentation, la tendance est au sain, au naturel et à la variété. La franchise Joosbayoo, une restauration sous forme de plats miniatures, des bouchées sucrées ou salées, en vente à emporter ou à déguster sur place par exemple.
Les franchises de boulangerie sandwicherie telles  Class’CroutePaul ou la franchise Subway ont développé une gamme très large, pour tous les goûts, à la demande et préparée à base de produits frais et sont présents partout en France.

L’offre s’adapte aux modes de vie des consommateurs

Les consommateurs sont devenus des nomades. Ils se déplacent toujours plus (trajets quotidien, voyages plus lointains) et les concepts de restauration doivent bouger avec eux. En gares, en aéroports et sur autoroutes, l’offre en restauration doit se caler sur celle du centre-ville. De grandes enseignes comme Mc Donald’s, Hippopotamus ou Buffalo Grill misent de plus en plus sur les lieux de transit pour assurer leur développement.
Des concepts nouveaux apparaissent pour répondre à cette demande.  Les concepts de « restauration mobile » comme Velissime ou Eaty.fr avec des offres « écolos » (sandwiches, salades….) livrées par triporteur.

Ce marché a beaucoup évolué ces 5 dernières années. Découvrez en video tous les concepts de franchise de restauration rapide qui montent et les témoignages de franchisés.

 

 

Source: http://www.ac-franchise.com/fr/actualite-affaires-general-0_6258.html

La vente direct comme tendance du futur

A l’heure du fast food et du pré cuisiné les consommateurs disent stop. Ils  ont pris conscience de la fragilité de leur environnement, mais aussi et surtout des producteurs locaux.

C’est pourquoi se développent massivement des initiatives de vente directe; la preuve avec le drive fermier bien décrit dans les échos

« Un « drive fermier » expérimenté en Gironde

Par Franck Niedercorn | 18/10 | 07:00

La chambre d’agriculture et une vingtaine de producteurs girondins expérimentent le premier « drive fermier ». D’autres départements devraient suivre.

Les « drive » qui fleurissent dans les zones commerciales peuvent-il aussi doper la vente directe des agriculteurs aux particuliers ? Réponse dans quelques mois avec le « drive fermier » lancé ces jours-ci en Gironde.

A l’origine de cette expérimentation, la réflexion des chambres d’agriculture autour de leur marque Bienvenue à la ferme grâce à laquelle les producteurs vendent directement au consommateur. « Nous cherchions depuis un an à sortir de la ferme pour aller au devant des consommateurs », explique Constance Bigourdan, à l’Assemblée permanente des chambres d’agriculture (Apca). Pour ce faire, l’Apca a investi 100.000 euros dans une plate-forme de commerce électronique destinée à tous ses adhérents.

En Gironde, on a repris l’idée et l’outil informatique pour les mettre en oeuvre sous une forme collective, avec 80.000 euros de soutien de la chambre d’agriculture. « On voit bien que le « drive » a le vent en poupe et répond à un besoin du marché qui n’est pas couvert par les associations pour le maintien d’une agriculture paysanne, les Amap, ni par les Marchés des producteurs de pays. Il faut désormais valider le concept depuis le modèle économique, jusqu’à l’aspect logistique », explique Bernard Lafon, producteur et président de l’association du Relais agriculture et tourisme de la Gironde. Cette dernière encaisse les paiements, reversés aux producteurs après avoir retenu 12 % pour frais de gestion.

Le site Drive-fermier.fr/33 s’est ouvert cette semaine avec une vingtaine de producteurs : légumes, viande de boeuf, agneau, volaille, miel, vin… Le consommateur passe sa commande et paie en ligne. Il peut la récupérer dès le vendredi après-midi suivant dans les locaux d’une coopérative maraîchère d’Eysines dans la banlieue bordelaise. Un nouveau site de retrait doit ouvrir le mois prochain à Lormont, de l’autre côté de l’agglomération. Pour leur part, les producteurs reçoivent, par e-mail, leur commande dès le jeudi matin et effectuent leur livraison dans la matinée du vendredi. Deux d’entre eux restent sur place pour remettre les produits commandés aux clients.

Franck Niedercorn, Les Echos »

Nutella, la guerre avec la France de François commence !

« Ferrero publiait hier un communiqué dans lequel l’entreprise agroalimentaire s’offusque de la taxe annoncée sur le Nutella. « L’amendement proposé [le 7 novembre] au Sénat dans le cadre du PLFSS 2013, visant àtaxer l’huile de palme à hauteur de 300%, s’appuie sur des éléments infondés sur les plans nutritionnel et environnemental. Ferrero est depuis toujours très attentive à la qualité de ses produits et des matières premières qu’elle utilise. L’huile de palme est utilisée pour ses qualités intrinsèques qui confèrent au Nutella des caractéristiques uniques en termes de goût, de consistance et de profil nutritionnel. Cet ingrédient ne contient pas de matières grasses hydrogénées dont le caractère nocif est effectivement reconnu. La sélection de nos matières premières nous permet en outre d’obtenir une huile de palme parfaitement compatible avec le respect de l’environnement auquel Ferrero tient particulièrement. Ces stigmatisations injustes risquent de mettre en péril les efforts de toute une filière pour s’approvisionner en huile de palme durable et le travail de notre entreprise implantée depuis 50 ans en Haute-Normandie et très engagée dans l’économie française. »

Source

Avec une touche humoristique pour finir, G. Depardieu voudrait quitter la France à cause du Nutella selon les Guignols de l’Info: à voir ici